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Transformation de conflit, de Karine Gatelier, Claske Dijkema et Herrick Mouafo

Aux Éditions Charles Léopold Mayer (ECLM)

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Kinshasa 2014 : école d’été sur l’« Analyse et la transformation des conflits en Afrique centrale ».

Participants :

Ont participé à cette école d’été 60 personnes de profils variés : une trentaine de cadres et d’agents du ministère des Affaires étrangères, une vingtaine de chercheurs du centre de la Chaire Culture de la Paix à l’Université Pédagogique Nationale, une dizaine d’acteurs de la Société civile et de défense des droits humains.

Parmi les participants, des chercheurs de l’UPN et des acteurs de la société civile ont réalisé une fiche de pré-analyse des conflits :

  • Albert BIN – KASONGO MASHIKA, Kinshasa, RDC a réalisé une fiche de pré-analyse de conflit sur L’émancipation des Pygmées. Les Pygmées qui se trouvent dans le district du Tanganyika/ Province du Katanga, ont profité de différentes guerres que la RDC a connues depuis 1996 pour revendiquer aussi leur émancipation. Des actes de violations des droits humains ont été commis par les Bantous ainsi que par les Pygmées (Batwa). Actuellement, chaque groupe ethnique a mis sur pied une milice pour défendre les intérêts de ses membres. Des armes de différents types/calibres sont utilisées soit pour l’attaque soit pour l’autodéfense, ce qui entraîne des déplacements de populations pour des raisons de sécurité. Les autorités administratives et les forces de l’ordre au niveau local tentent de calmer la situation en diffusant des messages de paix et de réconciliation.
  • Anicet Katsuva KAMBALE, Rutshuri/ Gisenyi, Nord-Kivu, RDC a réalisé une fiche de pré-analyse de conflit sur la Gestion des risques et préventions des conflits. L’histoire récente a montré que lorsque les idéologies et les programmes socio-économiques (c’est-à-dire les différentes visions et stratégies de développement socio-économique d’un pays) sont fortement affaiblis, quasi-inexistants ou ne se différencient pas fondamentalement, et que cette situation se conjugue avec une forte fragilité d’une société (conflits récents, crise économique, effondrement des cours des matières premières, etc.) le risque est grand d’assister durant la période électorale à une instrumentalisation de l’ethnicité à des fins électoralistes pouvant déboucher sur des violences de masses. Dans ces contextes dégradés, on peut redouter que les élections constituent une montée des discours identitaires incendiaires, c’est-à-dire l’occupation de l’espace de la parole publique par deux phénomènes : la stigmatisation et la mobilisation à partir de l’identitaire. Celui-ci peut prendre diverses formes : ethnique, ethno-national, religieux.
  • Anicet MBURA MBAHIKYA,Kinshasa,RDC a réalisé une fiche de pré-analyse de conflit sur la Violence politique et la mondialisation de la gouvernance minière en RDC. L’Etat à l’épreuve des conflits armés au Kivu montagneux. L’histoire récente de la RDC enseigne que les violences cycliques qui ont ensanglanté le Kivu sont liées non seulement aux relations antagoniques entre communautés locales pour des questions identitaires, foncières et des luttes politiciennes mais également et surtout à l’exploitation et à la gouvernance des ressources naturelles en général et minières en particulier. La criminalisation du secteur minier par les signatures des contrats léonins avec les multinationales étrangères serait l’une des causes majeures de perpétuation des conflits armés dans cette partie du pays. (…) Pour pallier à cette situation de crises prédatrices, le respect des normes tant nationales qu’internationales de bonne gouvernance dans le secteur minier devient une urgente nécessité afin d’espérer la refondation de l’Etat, désarticulé depuis plusieurs décennies dans les deux Kivu.
  • Damien KIWAMBA KULUMBI, Kinshasa, RDC a réalisé une fiche de pré-analyse de conflit sur le conflit opposant la République Démocratique du Congo avec la mutunerie du M23. La mutinerie du M23 émane du conflit entre la République Démocratique du Congo et ses voisins proches : la République Rwandaise, la République Ougandaise et la République Burundaise depuis 1998. Dès lors, les rébellions ont élu domicile dans cette partie Est de la République Démocratique du Congo. Ainsi, elle est la continuation du combat qu’ont mené la R.C.D. et le C.N.D.P. de 2004 à 2009. En mars 2009, le C.N.D.P. a ironiquement signé un traité de paix avec le gouvernement dans lequel il a accepté de devenir un parti politique. En échange, ces membres détenus en prison devraient être relaxés et intégrer le gouvernement après l’élection de 2011. Actuellement, selon les sources crédibles, le M23 fait état de la poursuite de recrutement militaire pour une éventuelle résurgence d’activité en Ituri. Par ailleurs, implicitement cette rébellion a l’appui de l’extérieur (le Rwanda) pour des fins de profit économique, via l’exploitation illégale du coltan et les autres minerais de la RDC. Le Rwandaise continue à nier le rapport des experts des Nations Unies et des groupes des défenses des droits de l’homme qui attestent que le M23 bénéficie d’un soutien important militaire, financier, et politique de la part de membres haut placés du gouvernement rwandais.
  • Deogratias BAFUNYEMBAKA BASALIRA, Kivu, RDC a réalisé une fiche de pré-analyse de conflit sur le Conflit foncier et minier de Mukungwe. Il s’agit d’un conflit foncier et minier d’abord entre le Chef de Groupement Administratif de Mushinga, KURHEGAMUZIMU, et son sujet CHUNU. Vers les années 1972, il a été découvert des minerais, principalement l’Or, dans la concession de Chunu à Mukungwe, une localité de Mushinga. Il y a des violences, parfois directes, entre leurs différentes familles autour de l’exploitation de ce minerais. Ce conflit est devenu héréditaire. Un troisième acteur apparaît dans ce conflit : une société multinationale Canadienne, BANRO. Celui-ci a signé, avec le gouvernement congolais, un contrat d’exploitation industrielle des minerais à Mukungwe. Il se heurte à la résistance de ces familles ainsi qu’à celle des mineurs artisanaux de ce carré minier. Il nécessite là des négociations et des médiations pour l’exploitation paisible et bénéfique de ces minerais.
  • François Layinga KATETE, Kinshasa, RDC, Chercheur à la Chaire Culture de la Paix et Assistant à l’Université Pédagogique Nationale (UPN).
  • Germain KAYEMBE KABASSA, Goma, RDC, président de Simameni Africa.
  • Hervé Bienty MAFUTU KANSIS, Kinshasa, RDC a réalisé une fiche de pré-analyse de conflit sur l’Intervention militaire Russe dans la guerre civile en Géorgie en 2008. L’Intervention militaire Russe dans la guerre civile en Géorgie a permis de mettre fin à la confrontation armée entre la Géorgie et ses provinces séparatistes dont l’Ossétie du sud et l’Abkhazie. Bien qu’émettant le discours humanitaire de la protection des civiles sud-ossètes détenant les passeports russes, cette intervention laisse entendre les velléités russes de l’extension de son influence en Géorgie puisqu’en réalité, il est question d’une lutte pour le contrôle de cet espace stratégique à gisement pétrolier entre elle et les Etats-Unis d’Amérique.
  • Jaebets Eric Mwanza, Kinshasa, RDC a réalisé une fiche de pré-analyse de conflit sur "Principes et mécanismes dans la résolution des conflits et pour une paix durable dans la région des grands lacs". Cela fait plusieurs années que la région des Grands lacs est le théâtre de conflits de toutes sortes, armés, frontaliers, etc… Cette réalité a comme sous bassement l’accès à certaines ressources stratégiques. Les conséquences de ces conflits, d’une manière directe comme indirecte, sont affreuses, aucune des nations de la région n’est épargnée et s’ils ne sont pas bien résolus, il ne sera pas étonnant de les voir resurgir à tout moment : ce sera un cycle infernal que personne ne saura arrêter. Parce qu’à, l’heure actuelle chaque peuple confronté à ces conflits (surtout les Congolais) a un stéréotype vis-à-vis des autres et il attend impatiemment son temps pour répliquer. C’est ainsi qu’il faut penser profondément sur la bonne façon de mettre définitivement fin à cette affreuse page d’histoire de cette partie du monde en mettant en place une forme de coopération qui profitera a tout le monde et empêchera que la région s’embrase de nouveau.
  • Jean de Dieu ATUA BALA, Kinshasa, RDC a réalisé une fiche de pré-analyse de conflit sur Les KULUNA (gangs) à KINSHASA/RDC. En République Démocratique du Congo, particulièrement à Kinshasa le phénomène ‘’gangs’’ ou KULUNA a connu, entre 2006 et 2011, une dimension inquiétante. Ne dit-on pas que vouloir c’est pouvoir ? nNul ne pouvait croire qu’en ce jour où nous paraphrasons ce propos, les paisibles citoyens congolais de Kinshasa trouveraient la paix et la liberté de circuler dans les ruelles de la ville, sans être inquiétés comme ce n’était plus le cas il y a quelques semestres passés. Cela ne s’est vu possible qu’après une initiative prisent par les autorités Politico-Administrative pour mettre fin à ces actes de vandalismes qui consistaient à des actes de torpillage, de tuerie, d’agression, de vol, des coups de machette, de couteau etc. Le stéréotype que révèle et sous-tend cette perception est que les KULUNA ou Gangs sont au dessus de la loi et de la puissance publique. Il manque des structures de réinsertion sociale de ces enfants, ne fut ce que pour prendre des décisions pour décourager le dit phénomène, comme ce fut le cas dernièrement avec l’opération « LIKOFI (coup de point) » initiée le 15 Novembre dernier par les autorités du pays sous exécution de la POLICE de Kinshasa. Les causes de ce stéréotype sont liées au fait que ces Gangs manquent du travail, la passivité des autorités du pays à réagir pour faire face à ce phénomène criant, la conspiration de ces Gangs avec les agents de la sécurité. Et cela se justifie par le fait que les agents de l’ordre ou de sécurité ont du mal à mener une vie normale avec des maigres salaires payés par le gouvernement et ce qui serait à la base de plusieurs maux comme la corruption...
  • Jean de Dieu Tsongo KAYIRI, Goma, RDC a réalisé une fiche de pré-analyse de conflit sur la Recherche des mécanismes inhérents à la gestion du conflit foncier. L’historique montre que les espaces fonciers sont repartis d’après les communautés et/ou clans retrouvés. C’est ainsi qu’on se retrouve avec un territoire dont la majorité de la population est issue d’une seule communauté. A titre illustratif, nous tenons à citer les cas du Territoire de Lubero où la communauté Nande était et est encore majoritaire sans oublier celui de Masisi avec la communauté Hunde. Deux observations intéressent notre réflexion, à savoir :
    — Dans le Territoire de Masisi, il se fait voir que plus de 90% des espaces agricoles sont occupés par une minorité constituée d’exploitants fermiers et miniers et cela au détriment des peuples autochtones qui ne cessent d’être appauvris au quotidien. L’analyse relève que la plupart de ces espaces sont conquis par la force et cela suite aux défis relevant des Administrations publiques pour ne nous exprimer que de la sorte ;
    — Dans le Territoire de Lubero, il s’est observé une arrivée des soi-disant autochtones qui s’étaient réfugiés dans des pays voisins qui exigeait leur retour imposé par des autorités étrangères profitant des faiblesses du Pouvoir public. C’est ainsi qu’il a été constaté que leur installation a été rendue effective par des groupes armés à obédience étrangère pour ne citer aucun d’entre eux.
    De ces observations déplorables et vu la nature de l’homme qui se cherche toujours une protection, les communautés se sont retrouvées menacées ; situation qui leur a conduit à se créer des mécanismes de protection parmi lesquels figure la création des milices autres groupes armés corollaires. Par là, nous pouvons évoquer les cas de l’APCLS, de NYANTURA, de Maï-Maï pour ne citer que ceux-là ne restent que des systèmes de protection conçus par les parties prenantes. Ceci vient retarder le développement de chacune des entités concernées vu la réalisation des événements destructeurs qui les caractérisent où l’insécurité reste la genèse de tous les autres maux.
  • Joe SANGO SANDUKU, Lumbumbashi, RDC
    a réalisé une fiche de pré-analyse de conflit sur le Conflit entre Katangais et Kasaiens. Il coexiste au Katanga et particulièrement dans la zone appelée interland minier ou la ceinture du cuivre, deux grandes communautés dont l’une est constituée des autochtones katangais et l’autre des ressortissants d’une autre province du Kasai venus à la recherche du mieux-être et du travail dans cette province industrialisée. Les autochtones revendiquent les droits du sol et par conséquent seuls capables de briguer des mandats politiques pour représenter la province au niveau national. Les ressortissants de la province du Kasai installés au Katanga pensent quant à eux qu’ils ont des droits en tant que Congolais sur le territoire national pour briguer les postes de leur choix. Les compétitions qui en sont sorties ont amené à plusieurs reprises les deux protagonistes à s’affronter.
  • Justin MOBOMI, Barumbu, RDC a réalisé une fiche de pré-analyse de conflit sur Le conflit entre les pays de la Région des Grands Lacs africains. En 1994, les Hutus ont perpétré le génocide contre les Tutsis au Rwanda. Pour fuir les représailles, les Hutus ont fui en RDC. Et craignant leur retour au Rwanda, le pouvoir installé au Rwanda après le génocide les a poursuivis en violant l’intégrité territoriale de la RDC.
  • Lambert MAWA APEMA EL MALDU, Kinshsa, RDC a réalisé une fiche de pré-analyse de conflit sur Le phénomène conflictuel entre les Ogambi et les Logo dans le territoire de Faradje. Le conflit que connaissent les entités territoriales décentralisées est le résultat d’une triple situation. D’abord, la passation, l’intronisation et l’interprétation du pouvoir par des Colons envahisseurs (Arabes et Européens) ; ensuite, la hiérarchisation et l’unification forcées des clans par des puissances coloniales sous une seule autorité voulue et investie par le pouvoir colonial ; et enfin, la recherche de la véritable image du chef dans sa position d’autrefois (pouvoir coutumier sacré, héréditaire et issu de lignage) ainsi que d’une certaine autonomie de clan. Le résultat d’un tel conflit n’est autre que la lutte pour la succession au pouvoir et la désintégration des collectivités locales avec tous les effets corollaires. Ainsi, il est fondamental de trouver des mécanismes pouvant rétablir chaque clan dans ses droits, dans le territoire de Faradje ente les Obambi et les Logo (Avokaya et Baka) afin d’espérer un quelconque développement dans ce milieu.
  • Liliane Andia Lisimo AHOMBO, Kinshasa, RDC a réalisé une fiche de pré-analyse de conflit sur le conflit entre « Lord’s Resistance Army » (LRA) de Joseph KONY et le Gouvernement Ougandais. Le conflit entre la LRA (Armée de Résistance du Seigneur) de Joseph KONY et le Gouvernement Ougandais date de 1987, au lendemain de la prise du pouvoir par YOWERI KAGUTA MUSEVENI. La LRA composée en majorité par l’ethnie « acholi » s’est vu marginalisée et exclue du plan Ougandais de développement et a commencé sa rébellion au nord de l’Ouganda .Cette rébellion n’est pas restée statique, elle a évolué au-delà même des frontières ougandaises pour se transformer en groupes armés ou forces négatives dans les pays qui partagent avec l’Ouganda ses frontières Nord-Ouest. Il s’agit de la partie Nord-Est de la RDC (province Orientale), et Sud – Ouest du Soudan, dans la zone 4 de la CIRGL, ainsi que Sud–Est de la RCA, dans la zone 5 de la CIRGL. La présence de la LRA a un impact largement négatif sur la sécurité dans la région. A savoir : atteintes au droit à la vie (plus de 100.000 personnes tuées), destruction de l’écosystème (parc de la Garamba), déplacement de la population, enlèvement des civils, viols, esclavage sexuel et autres atteintes à l’intégrité physique ainsi que pillage des ressources naturelles.
  • Phidias Safari MUFANZARA WETEMWAMI, Goma, RDC a réalisé une fiche de pré-analyse de conflit sur les Conflits entre les détenteurs de titres miniers, les exploitants artisanaux et les creuseurs miniers dans le territoire de Masisi et Walikale. La gestion opaque et la distribution inégale des revenus entre les exploitants miniers et la communauté locale. La destruction de l’environnement par les exploitants artisanaux, du tissu social et les violations de droits humains dont les plus vulnérables sont victimes de plusieurs conséquences de l’exploitation (travail forcé, exploitation sexuelle des filles mineures, mariage forcé etc…). Les creuseurs miniers travaillent dans des mauvaises conditions qui ne tiennent pas compte de leur environnement sécuritaire et sanitaire. La clochardisation de la jeunesse de Rubaya ainsi que l’ensemble de la communauté riveraine de sites miniers. Sur le plan environnemental, le détenteur d’un titre minier, favorise aussi des impacts préjudiciable à l’environnement, notamment la pollution de la terre, de l’atmosphère, des eaux et le dommage ou la destruction de la flore ou de la faune et avec plusieurs conséquences sur les conditions sanitaires de la population, la destruction de l’habitat et du couvert végétal. La méconnaissance de code et règlement minier chez les exploitants miniers qui témoigne l’absence quasi-totale de l’Etat congolais dans la vulgarisation des textes légaux et réglementaires pour une bonne gouvernance du secteur minier. Les creuseurs artisanaux constituent le dernier maillon de la chaîne d’approvisionnement en minerais au détriment des grandes entreprises et ces creuseurs exploitent plusieurs carrières dans des conditions inhumaines de violations flagrantes des droits de l’homme.
  • Serge VUNGUDIBI, Kinshasa, RDC a réalisé une fiche de pré-analyse de conflit sur Le conflit malien. Le conflit malien est un conflit armé qui a eu lieu au Nord du Mali de 2012 à 2013 à la suite d’une insurrection de groupes armés indépendantistes (MNLA), de salafistes (Ansar Dine) et d’autres djihadistes contre le gouvernement malien. L’enjeu principal pour le MNLA est l’autodétermination de l’Azawad, l’instauration de la charia au Mali par les djihadistes et la lutte contre l’intégrisme islamiste et la sauvegarde de l’intégrité territoriale du Mali.
  • Sylvain Désiré AWA ONANA, Yaoundé, Cameroun a réalisé une fiche de pré-analyse de conflit sur La crise post électorale de 2011 en Côte d’Ivoire entre les partisans du Président Ouattara et ceux du Président Gbagbo. Les deux parties revendiquaient la victoire aux élections et cela a conduit à une crise politique, sociale et humanitaire. Par le biais du dialogue, du droit humanitaire et du droit d’ingérence une solution provisoire a été trouvée, mais au fond le monde entier sait que ce pays souffre actuellement de problèmes ethniques et politiques.
  • Vincent Philippe KEPAPOL KITOKO, Kinshasa, RDC a réalisé une fiche de pré-analyse de conflit sur la Deuxième guerre en Rd-Congo (1998), dite « Guerre d’agression ».