Laurent Ladouce

Laurent Ladouce es traductor de ensayos-anglosajones (Quién escribio la Biblia ? El Freud Desconocido, El Hombre multiple etc…).

Es incluso director del Espacio “Cultura y Paz”, 27 rue de Domrémy 75013 – Paris (Tel : 09 54 36 89 95). A dos pasos de las Universidades y de la Biblioteca François Miterrand, este espacio permite a los estudiantes familiarizarse con los cambios personales que implica la cultura de paz. www.culture-et-paix.org

Desde 1997, coordina « el Projecto Pakxe ». Pakxe (tercera ciudad de Laos) llegaría a ser una ciudad internacional de la paz en Asia del Sud-Este. La Universidad australiana Bond ha publicado un artículo acerca del proyecto (www.international-relations.com/CM7-2WB/WBPakx.htm). En Mayo 2007, Laurent Ladouce presentó el proyecto Pakxe durante el segundo congreso mundial de estudios laosianos en la Universidad de Arizona. En Junio 2011, las Ediciones Romanas publicaron “El Proyecto Pakxe: una contribución del pueblo laosiano a la unidad de Asia del Sud-Este y a la Paz Mundial”. La entrevista con el autor: www.dailymotion.com/video/xixa2j_mr-ladouce-le-projet-pakxe_webcam

El libro está disponible en la librería « Le Phénix » en Paris: www.librairielephenix.fr/livres/le-projet-pakxe-9782953573534.html

O puede ser encargado a las Ediciones Romanas: librairieromaine.biz/?p=315

Fichas del autor

  • Le Projet Pakxe, de Laurent Ladouce

    Une Contribution du Peuple Laotien à l’Unité de l’Asie du Sud-Est et à la Paix Mondiale.

  • Les défis d’une culture de la paix. L’obstacle épistémologique

    L’UNESCO a eu raison de promouvoir la notion de « culture de la paix » depuis quelques années. Il faut toutefois reconnaître que l’irénologie, la science de la paix, est une discipline récente et encore balbutiante.

  • Mourir pour les siens ou vivre pour les autres. Passer d’une culture de guerre à une culture de paix

    Pourquoi les sociétés cherchent-elles des solutions à leurs problèmes dans la guerre, plutôt que par une coexistence pacifique ? A cause d’un sens du sacrifice perverti. Tant la culture de la guerre que la culture de la paix reposent sur le sacrifice : donner sa vie. En quoi diffèrent-elles alors ? La culture de la guerre demande à l’homme d’être prêt à mourir pour les siens , la culture de la paix demande à l’homme de vivre pour les autres. Cela soulève la question de l’orientation fondamentale de l’amour humain. Maurras rappelait lucidement le primat du facteur moral : « Nous croyons la paix fille de la nature. Pas du tout. La paix demande beaucoup d’efforts, d’intelligence, de dévouements ou de sacrifices ».